The flames of Israel's little war in Gaza may have cooled, but the economic war against the people of Gaza continues...without even the barest justification. And Americans remain in denial, in part due to Israel's highly effective propaganda campaign. In this context, it is worth remembering how Israel managed the news during the fighting. Consider this report, from France24.
Nous ne sommes pas à Gaza. Nous, journalistes occidentaux.
Heureusement, quelques courageux journalistes palestiniens parviennent à couvrir cette guerre. Pour FRANCE 24, Radjaa Abou Dagga raconte au quotidien la violence de l’opération, les avancées des troupes au sol, les combats dans les rues. Tous les jours, nous lui parlons au téléphone, alors que nous ne sommes qu’à quelques kilomètres de distance. Nous lui disons notre estime, notre confiance et notre amitié. Mais nous ne sommes pas avec lui, parce qu’une vaste opération de communication orchestrée par l’armée israélienne nous en empêche.
La fermeture totale de la bande de Gaza est une honte. Un déni de démocratie. Et signe l’échec de la presse face à la communication. A deux reprises depuis le début de l’opération, la Cour suprême du pays a ordonné à l’armée d’ouvrir Gaza à la presse. Tsahal refuse d’appliquer la loi de son propre pays.
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